Mathilde Blaineau
s'initie jeune au clavecin et à la basse continue avec Sébastien Roué, et au chant avec Éva Kiss. Admise en 2011 à 18 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon en basse continue dans la classe d’Yves Rechsteiner, elle obtient son Diplôme National Supérieur de Musicien Professionnel (DNSMP) ainsi que sa licence de musicologie à l’université Lyon 2 en 2014 puis son master de basse-continue en 2016 avec la mention très bien à l’unanimité et les félicitations du jury. Elle a l’occasion, pour approfondir sa connaissance du clavecin et de la basse-continue, de suivre des master-classes de clavecin, avec Béatrice Martin, Bertrand Cuiller, Olivier Baumont, Jörg Andreas Bötticher ou d’orchestre avec Hervé Niquet. Le travail qu’elle mène en musique de chambre l’incite à se produire régulièrement en concert avec différents ensembles, parmi lesquels L’Archivolte, L'Ensemble Baroque de la chapelle Ducale ou encore La Léon, qu’elle co-fonde en 2017.
débute sa formation musicale au violoncelle, à la Musikakademie Basel (CH). À 18 ans, après une année de cours d’initiation à la viole de gambe avec Silvia Teccardi, elle rentre à l’ENM de Villeurbanne pour se former auprès d’Emmanuelle Guigues et commence également les cours de violoncelle baroque avec Hilary Metzger. Elle intègre en 2012, en tant que violiste, la classe de Marianne Muller au CNSMD de Lyon où elle obtient le DNSPM mention très bien. En parallèle, elle continue le violoncelle baroque à Villeurbanne et termine son Master en viole de gambe au CNSMD de Lyon avec mention très bien à l’unanimité du jury. Au cours de ses études, Barbara a eu la chance de profiter des enseignements de Friederike Heumann, Jordi Savall, Paolo Pandolfo, David Simpson et Hager Hanana. En 2017 elle co-fonde l’ensemble « La Léon » avec Mathilde Blaineau. Avec divers jeunes ensembles de Lyon, elle se produit régulièrement dans le cadre de séries de concerts et festivals, tels que « Festival Radio France Montpellier », “Toulouse les orgues” et « Fringe Festival Utrecht».
Barbara Hünninger
